ALTIS a pour objectif de réaliser 80 captages d’ici à 2035, dont un bon nombre dans les prochaines années. Bien que le principe reste le même, chaque captage est différent de par leur lieu d’implémentation, le type de source, le débit, etc. 

ALTIS souhaite désormais pouvoir installer facilement et à moindre coût, le captage parfaitement adapté à chaque situation. Les captages actuels ne sont pas équipés pour prendre les mesures souhaitées (qualité de l’eau, débits, etc). Le captage du futur doit intégrer cette fonctionnalité et permettre de faire remonter des informations et données du terrain. 

Ils sont en sus protégés par de simples barrières. En zone d’alpage par exemple, les pollutions des sources dues à de la matière fécale sont ainsi assez courantes. D’autre part, sur des zones de captage à proximité des pistes de ski, certaines sources sont par exemple parfois souillées par des carburants de dameuses (ex. huile). Les lacunes en termes de récolte et de remontée d’informations impliquent que les pollutions sont actuellement difficiles à éviter et à déceler. 

Des solutions individuelles existent pour toutes ces problématiques mais nécessitent d’être rassemblées et intégrées manuellement lors de chaque conception de captage. 

On aimerait pouvoir industrialiser ce processus en se voyant proposer une méthode ou un service d’intégration automatique et paramétrable des divers éléments qui constituent un captage.